Les nationalistes de façade, les corrompus et fossoyeurs de la patrie ont encore frappé. Et c’est encore l’ancien président Jocelerme Privert qui est pris pour cible.
Alors que les pantins ont, à maintes reprises, annoncé le décès Privert en inventant des ragots sur sa vie et celle de sa famille, cette fois-ci ils l’ont associé à une quelconque participation à l’investiture du président dominicain Luis Abinader.
Encore Privert, toujours Privert!
Qu’est-ce qui se cache derrière ces attaques contre M. Privert? Qui ont peur de lui?
De toute façon, ceux qui cachent derrière des faux noms pour créer ces intox et s’attaquer à la personnalité de Privert ont frappé à la mauvaise porte. On voit bien le visage et l’origine politique de ces attaques mensongères à n’en plus finir.
Certes, en tant qu’ancien Président et citoyen, Privert est un homme libre. En tant que tel il n’a aucune obligation de suivre ou de s’aligner sur les prises de position de ceux qui, par des moyens détournés et en dehors de la Constitution, se sont accaparés du pouvoir politique. Il a toute la liberté et le droit légitime de répondre à toute invitation qui lui est adressée et de participer à toute activité de son choix que ce soit en Haïti ou à l’étranger.
Par contre, il est de notoriété publique que Privert n’a jamais, à aucun moment, laissé Haïti. Il a choisi, au péril de sa vie, de rester, de vivre et de s’engager dans la vie politique, économique et sociale de son pays. On met en défi à ces truands et ces pêcheurs en eau trouble de prouver que Privert était à la cérémonie d’investiture du président dominicain.
Aujourd’hui, la désinformation et le mensonge sont, pour les acteurs politiques haïtiens, impliqués dans les crimes financiers et de sang, leur principale arme contre ceux qu’ils identifient comme leurs adversaires politiques. C’est leur seul moyen de rester en vie politiquement.
Le philosophe Voltaire avait bien raison de dire que « Le mensonge n’est un vice que quand il fait du mal; c’est une très grande vertu, quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais”. Les détracteurs de Privert étaient à la bonne école.